SobriétITé, sobriété IT, sobriété informatique et télécommunications

Partant du constat que l'informatique et les télécommunications prennent déjà une part importante et grandissante dans le dérèglement climatique, je propose des solutions pour réduire notre dépendance à ces technologies par la Sobriété IT, informatique et télécommunications, notre consommation de ces technologies en évaluant le rendement informationnel de nos consommations.
Comme indiqué, l'information plus ou moins pertinente qui doit être stockée, acheminée génère une grande part de la pollution informatique.

Quelques exemples :

L'origine de la surconsommation de données ce sont les logiciels pas le matériel.
Problem is software not hardware
Je me plais à dire : ce n'est plus de l'obsoléscence programmée, c'est le programme qui provoque l'obsoléscence !

Lorsque j'ai débuté dans l'informatique, les capacités étaient limitées et les développeurs apportaient un soin particulier à l'optimisation de leurs programmes.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui où le nombre de fonctionnalités offertes par les logiciels sont immenses pour une utilisation souvent très partielle.
Il suffit pour s'en rendre compte d'analyser les fonctions que l'utilisateur ne maitrise pas dans les logiciels de bureautique, dans les systèmes d'exploitation...
Un autre indice est donné par le temps que les machines aux capacités théoriques des centaines de fois supérieures à celles des générations précédentes de matériel mettent pour démarrer, effectuer des opérations qui doivent être simples...

Ces techniques de SobriétITé (par ex taille des images) ont été appliquées dès la création du site VerTdeTerre.com permettant normalement un affichage rapide quelque que soit le terminal utilisé.

Désormais, je signe mes messages électroniques par le slogan :
Par volonté de sobriétITé sobriété informatique et télécommunications,ce message ne comporte que du texte. Toutes les informations voraces en octets (photos, documents attachés) donc en énergie sont accessibles via des liens surtout lorsque le nombre de destinataires est élevé.

Ainsi plus que limiter les messages échangés, je limite l'impact de ces échanges.