www.vertdeterre.com, une fenêtre ouverte sur la nature à votre porte, le site dédié à l'identification des espèces

Et oui, il existe d'autres verts de terre sur la toile, plus ou moins nature mais qui vous présentent tous des informations très pertinentes.

Les VERTSDE TERRE
Sans parti (politique) pris, EELV alias les verts.

Des stéphanois pas toujours très verts.
verts de l'ASSE.

Terre sacrée, base vivante d'informations incroyables, abominables, mais VRAIES
Base vivante d'informations incroyables

De Terre et nature, association naturaliste de la Loire
espace-nature
Et l'excellent journal indépendant, Reporterre
Reporterre

LES DEUX, MON CAPITAINE !

Le vert à fleur de Pau qui a décerné ce sympathique diplôme à VerTdeTerre

A fleur de Paudécerné à VerTdeTerre.com
Ils apportent leur concours à VerTdeTerre

Les parcs nationaux et réserves naturelles en particulier, le parc du Mercantour et la réserve nationale de Camargue, le parc régional du Pilat dont la vue illustre la page d'accueil.

Même si je ne veux pas raisonner en terme financier et commercial, purement concurrentiel, ces autres VerTdeTerre sont des sites qui s'ils ne font pas littéralement appel aux mots-clés Vert et Terre, leur but consiste à identifier les espèces.
En premier lieu, se trouve Plant@net issu en partie du travail de l'association Telabotanica dont j'avais rencontré un des pionniers Mathieu lors du séminaire l'internet des connaissances. Il s'agit du projet le plus abouti puisqu'il répond à l'ambition que j'évoquais dans un entretien avec le journal local à la naissance de VerTdeTerre mais uniquement dans le domaine de la botanique.
Il s'appuie sur les dernières techniques de reconnaissance issues des mégadonnées ou données massives (big data dans la terminologie anglosaxone). De ce fait, il ne respecte pas rigoureusement la SobIT, concept qui s'est imposé à moi au fil du temps en constatant les impacts environnementaux de certaines pratiques de l'IT ceci d'autant plus qu'il stocke des volumes gigantesques de données des photos transmises par les internautes.
De plus, les règles d'éco-conception n'ont pas eacute;té appliquées, mesure d'un éco-Index D et émission de CO2 2,04g pour la page contributions, éco-Index C et émission de CO2 1,9 g pour la page identifier.
A titre d'évaluation, le site Vertdeterre n'occupe que 110 Mo quand une photographie numérique représente en moyenne une dizaine de mégaoctets (Mo) aujourd'hui.
Ne vous attendez pas à des temps de réponses fulgureux de leur part...
Il s'agit d'une équipe conséquente adossée à l'université de Montpellier qui perpétue ainsi une tradition de savoir et de diffusion de ces connaissances que j'avais mis à l'honneur sur le paragraphe intitulé du côté de Montpellier.
VerTdeTerre n'a jamais franchi le cap des collaborations éphémères avec quelques internautes mais m'a offert de belles rencontres avec des naturalistes généreux. Je veux rendre hommage ici à Jean-François Noblet (sur les chiroptères), Henri Robert (sur la botanique et la mycologie avant tout) que j'ai initié à l'entomologie, Jean-François Butaud (sur la flore polynésienne), Cédric Audibert (sur les invertébrés et les insectes en particulier) entre autres.

Le site quelestcetanimal ne propose pas l'interactivité des choix graphiques pour aboutir à l'identification de l'espèce animale. Il est l'Ĺ“uvre d'un informaticien et de son frère naturaliste quand je tente de cumuler les 2 compétences. Et il reste proche des sites statiques quand VerTdeTerre cherche à mettre à profit dès son origine les techniques de site dynamique pour faciliter l'accès à la connaissance des internautes.
Il existe de nombreux sites statiques qui présentent certains pans de la biodiversité de manière remarquable mais sans apporter une aide à l'identification autre qu'une description souvent obscurcie par un vocabulaire spécialisé. Certains de ces sites sont alors accessibles à partir de la fiche de l'espèce déterminée grâce à VerTdeTerre par le lien inTERREnet.

L'application inaturalist est une initiative conjointe de la California Academy of Sciences et de la National Geographic Society qui connaît les mêmes travers que Plant@net en terme de non respect de la SobIT et en donnant l'illusion de participer à la science (participative un peu je le concède).
Alors que National Geographic apporte sa caution aux croisières en Antarctique venant perturber des écosystèmes ainsi de moins en moins préservés !

VerTdeTerre garde donc son intérêt par rapport à tout ces sites en :

  • couvrant une biodiversité plus large que les règnes animal et végétal réunis, avec des points d'entrée vers l'astrologie, le cycle de l'eau, la Polynésie...
  • précisant dans la mesure du possible l'étymologie des noms vernaculaires comme scientifiques (pour aider à retenir ces noms) allant jusqu'à émettre des hypothèses dans certains cas peu documentés
  • maintenant le respect de la SobIT (même si cet concept s'est finalement formalisé en parallèle du site) car il permet d'offrir un niveau de service satisfaisant dans des conditions de connexion défavorables (expérience personnelle suscitant une éco-conception naturelle contrairement à un développement réalisé dans des conditions optimales ignorantes de cette réalité quotidienne) de préserver le sujet qu'il souhaite faire découvrir la biodiversité près de chacun.